Père Lachaise : tombeaux remarquables de la 45ème division
par
Division toute en longueur de 5 lignes, elle se trouvait aux confins de la partie ancienne du cimetière : elle fut donc occupée par des concessions temporaires, parfois transformées en perpétuelles. Cela explique le nombre de vieux tombeaux, certains consignés dans les vieux guides du cimetière, dont quelques uns sont toujours là.
Elle a deux particularités :
elle concentre un très grand nombre d’étrangers, anglo-saxons mais également issus de la péninsule ibérique. Il faut y voir davantage un choix de localisation grégaire de la part de ses deux communautés, à l’époque où le cimetière était encore bien vide, plutôt qu’un choix intentionnel de la part du cimetière de les regrouper.
elle fut la division qui, entre 2001 et 2004, subit un bon nombre de reprises et donc de nouveaux arrivants. C’est ainsi qu’en bordure de l’Avenue transversale furent tour à tour inhumés Bécaud, Daumier, Trintignant, Toscan du Plantier, Lefel ou Holgado, donnant évidemment à cette division une visibilité auprès des touristes.
LES PERSONNALITÉS
BAUDELOCQUE Jean-Louis
BECAUD Gilbert
BOSIO François-Joseph
CORNEAU Alain
DAUMIER Sophie
GODOY Manuel
HOLGADO Ticky
LEFEL Edith
SENONNES (de) Marie
TOSCAN du PLANTIER Daniel
TRINTIGNANT Marie
... mais aussi
Alexandre AGUADO (1784-1842), marquis de Las Marismas del Guadalquivir (les marais du Guadalquivir, dont il finança les travaux de drainage), servit durant la guerre d’Espagne, d’abord contre les troupes françaises et ensuite aux côtés de Joseph Bonaparte. Exilé en 1815, il se lança dans les affaires à Paris. Grâce aux relations de sa famille à La Havane et au Mexique, il accumula, en peu de temps, une fortune suffisante pour créer une maison de banque. En 1829, il acquit l’hôtel d’Augny, rue Drouot à Paris, qui abrite aujourd’hui la mairie du 9e arrondissement et dans lequel il installa sa collection de peinture, riche d’environ cinq cents tableaux, principalement du Siècle d’or espagnol, qu’il ouvrit au public. Dans cet imposant tombeau de famille repose également sa bru, Claire Emilie MacDonnel, vicomtesse Aguado (1817-1905), qui fut dame du Palais de l’impératrice Eugénie et qui figure sur le célèbre tableau de Winterhalter. Elle fut connue pour ses réceptions, lieu de rencontre de la haute société parisienne du Second Empire que tous les princes étrangers visitaient quand ils se rendaient à Paris. Y reposent également ses trois fils, dont Olympio (1827-1894) et Onesipe (1830-1893), qui furent des pionniers de la photographie et qui réalisèrent des photographies animalières, des paysages, des portraits et des tableaux vivants, scènes de la vie quotidienne de son milieu social aristocratique. La famille repose dans un monument en marbre blanc surmonté d’un sarcophage "à l’Antique" à pieds de lions, encadré des figures allégoriques de la Bienfaisance et des Arts. L’œuvre est de Joseph Marius Ramus.
- La vicomtesse d’Aguado est l’avant-dernière à droite du tableau.
Louis Eugène AMIARD (1872-1935), qui fut député radical socialiste (1909-1919) puis sénateur (1927-1935) de Seine-et-Oise.
Il est assez peu probable que le Jean Denis Ferréol BLANC (1743-1789), représentant du Doubs aux Etats-Généraux de 1789, repose dans le caveau du colonel Blanc : il mourut à Versailles deux mois après son arrivée, à une époque où le Père Lachaise n’existait pas. Un transfert ultérieur ? Ce n’est pas ce que laisse penser l’inscription "à la mémoire" qui signale son identité.
L’ingénieur des ponts et chaussées Jean Baptiste BOUCHER de la RUPELLE (1784-1864), qui fut attaché au service des travaux des canaux d’Orléans et de Loing, ainsi qu’à ceux du Nivernais. Il réalisa au cours de sa carrière des études de la navigation de l’Yonne.
Le ministre Paul BOUDET
Le général italien Guillaume-Michel CERISE (1769-1801) qui servit les armées révolutionnaires et impériales française. Il fut un temps membre du gouvernement provisoire du Piémont. Il fut fait baron d’Empire. Avec lui repose son neveu, le médecin Laurent CERISE (1807-1869), qui fut membre de l’Académie de médecine spécialisé dans la physiopathologie.
Le général d’artillerie belge Hermann Gaspard, baron COTTY (1773-1839), qui était baron d’Empire. Il fut l’auteur de plusieurs ouvrages sur l’artillerie.
Le contre-amiral Léon Pierre Emile DALMAS de LAPEROUSE (1805-1874), qui en 1836 embarqua sur La Vénus et fit un voyage autour du monde sous les ordres de l’amiral Dupetit-Thouars ; l’objectif de ce tour du monde étant d’évaluer l’intérêt économique de la chasse à la baleine dans le nord du Pacifique. Il commanda différents autres navires et est présent dans le golfe du Mexique, lors de l’expédition française au Mexique.
Marc Jean, baron DEMARCAY (1773-1839) : général de la Révolution et de l’Empire, il fut élu député de la Vienne en 1819. Il fut jusqu’à sa mort l’un des plus fougueux défenseurs de la cause démocratique à l’Assemblée.
Olivier DESCLOZEAUX (1732-1816) : avocat au Parlement de Paris, il habitait à proximité du cimetière de la Madeleine où furent inhumés les condamnés à mort exécutés de 1792 à l’été 1794. Avec un petit groupe de fidèles royalistes il nota jour par jour l’identité des 1343 défunts et en tint registre. Il s’efforça de mémoriser également l’endroit précis où étaient enterrés les principaux d’entre eux, particulièrement Louis XVI et Marie Antoinette ; repérage difficile en raison des murs autour de la parcelle. Il avait circonscrit approximativement l’endroit où reposaient les corps et fit plus tard entourer le carré d’une charmille avec deux saules pleureurs et des cyprès, dans le souci de sauvegarder les dépouilles du couple royal. En 1796 le terrain du cimetière fut vendu à un menuisier. Celui-ci fit faillite et, en 1802, Desclozeaux s’en porta acquéreur et fit procéder à des travaux de consolidation des murs. Ultérieurement il vendit le terrain à Louis XVIII qui y fit élever la Chapelle expiatoire. Sa tombe, à l’angle de la division, est le plus souvent dissimulé par la végétation.
Le géographe Alexandre DEZOS de la ROQUETTE (1784-1868), qui fut consul de France au Danemark et en Norvège. Il fut l’auteur en 1816 d’un Armorial des villes de France. À sa mort, ses héritiers léguèrent à la bibliothèque Sainte-Geneviève sa collection (environ 1500 ouvrages sur le Danemark et la Norvège). C’est grâce à ce legs que put être constituée la " Collection Scandinave " de la bibliothèque.
Charles Pierre DOYEN (1797-1866) : ancien administrateur des hospices de Troyes, il fut sous-gouverneur de la Banque de France de 1859 à 1866.
L’architecte Pierre-Edouard DUMONT (1826-1907), ancien élève de Lebas, qui éleva plusieurs constructions particulières, bâti un château à Neuilly et commencé le château des Gadelles (dit aussi Porte de Burgos) à Sanvic (près du Havre).
André Julien, comte DUPUY (1753-1832) : conseiller d’État, il fut fait membre du Sénat conservateur et comte de l’Empire. Il adhéra à la première Restauration et fut créé pair de France. En 1816, il fut nommé gouverneur général des Indes françaises.
Nicolas DUVAL (1853-1906), qui fut maire du XIe arrondissement de Paris.
Xavier GARDINIER (1931-2013), propriétaire des champagnes Lanson et Pommery puis du Château Phélan Ségur à Saint-Estèphe.
Armand GAZEL (1896-1981), qui fut ambassadeur de France en Nouvelle-Zélande (1945-1949) et en Afrique du Sud (1949-1956).
Le peintre Edmond GRANDJEAN (1844-1908), qui quoique contemporain des Impressionnistes, s’illustra dans les paysages urbains, les scènes mondaines et les peintures de chevaux. Il repose sous un buste en bronze par Giovanna Dubray (on ne sait pas si c’est lui qui est représenté).
Le sinologue étatsunien James Russel HAMILTON (1921-2003), spécialisé dans l’étude des langues et de l’histoire de l’Asie centrale, et particulièrement les civilisations ouïgoures.
L’officier britannique John HARRIOTT (1780-1839) au service de la Compagnie des Indes orientales. Il acquit le manuscrit mongol Jami’ al-tawarikh.
Sir Graves Chamney HAUGHTON (1788-1849), orientaliste britannique membre de l’Institut de France qui mourut du choléra. Il enseigna l’Hindi et le Bengali.
L’abbé Jean Pierre Joseph HAUMET (1798-1851), qui fut de 1831 à 1844 le curé de l’église Sainte-Marguerite à Paris. C’est lui qui initia les premières fouilles dans le cimetière afin de retrouver "l’enfant du Temple". Sa chapelle est ornée d’un buste en pierre signé Gossin.
Le colonel d’artillerie François Louis HUSSON (1777-1832).
L’orientaliste Pierre-Amédée JAUBERT
Madame JOREL de SAINT BRICE (Marie Danneville : 1764-1849), qui fut un temps la gouvernante de l’enfant du Temple.
L’architecte Théodore LABROUSTE (1799-1885). Fils d’[Alexandre- >4576#labrouste], frère de Henri, il fut comme son frère cadet architecte. Elève d’Antoine Vaudoyer et d’Hippolyte Lebas, il remporta en 1827 le premier grand prix de Rome avec comme sujet de concours un muséum d’histoire naturelle. En 1845 et 1846, Théodore construit deux pavillons pour le collège Sainte-Barbe (dont son frère Alexandre était le directeur) qui font aujourd’hui partie de la bibliothèque Cujas. Architecte en chef de l’assistance publique, il construisit le nouveau bâtiment de l’hôpital Fernand-Widal et réalisa l’hospice des Incurables d’Ivry-sur-Seine. Auteur du monument de Louis XIII sur la place des Vosges, on lui doit encore la bibliothèque de l’Arsenal, dont il restructura les bâtiments en ajoutant deux pavillons.
Le comte Charles-Eugène LALAING D’AUDENARDE (1779-1859), qui fut un général français de la Révolution et de l’Empire. Il fut fait baron d’Empire, rallia les Bourbons en 1815 et prit part à l’expédition d’Espagne en 1823. Pair de France, il fut fait sénateur lors du Second empire.
L’officier Louis de LASALLE (1789-1846), qui fut député de la Gironde de 1839 à 1846.
Emile LAURENT (1852-1930), qui fut préfet de Police de Paris de 1914 à 1917. Il donna son nom à une rue du XIIe arrondissement de Paris.
Le général Jules Abel LE BELIN de DIONNE (1828-1912), qui commanda l’Ecole Supérieure de guerre de 1887 à 1893. A ce titre, il fut un des acteurs de l’affaire Dreyfus.
Le médecin écossais Charles LOUDON (1801-1844), qui enquêta sur l’emploi des enfants dans les usines. Il se retira vers 1841 à Paris. Il fut l’auteur d’une Solution du problème de la population et de la subsistance.
L’architecte Joseph Théophile LOUVAIN PESCHELOCHE (1802-1871).
Jean Baptiste MARDUEL (1762-1848) : prêtre et collectionneur, il fut le premier vicaire à la cathédrale Saint-Jean de Lyon, puis de l’église Saint-Nizier. Il Collectionna les partitions et manuscrits musicaux (ainsi que les ouvrages sur la liturgie, l’histoire, la numismatique et l’héraldique) confisqués lors de la révolution et vendus à bas prix, composant ainsi une très importante bibliothèque (13 à 14000 volumes). Appelé à Paris, il devint premier vicaire à l’église Saint-Roch (d’autres membres de sa famille avaient occupé cette charge avant lui), puis chanoine honoraire à Notre-Dame.
Le général Roger Louis de MAROLLES (1805-1855), qui mourut à la bataille de Sébastopol.
Le compositeur Edmond MÉLAN (1848-1909), qui repose dans la chapelle Davelouis.
Le peintre François-Guillaume MÉNAGEOT (1744-1816), qui reçut le Prix de Rome en 1766. Directeur de l’Académie de France à Rome et membre de l’Académie des beaux-arts, son œuvre est essentiellement constituée de scènes religieuses et historiques. Sa tombe n’existe plus.
Le poète Charles-Hubert MILLEVOYE (1782-1816) reposa dans une concession temporaire de cette division jusqu’à son transfert, en 1834, dans le cimetière Notre-Dame de la Chapelle d’Abbeville (80).
Nicolas François MOUFLE (1763-1838), qui fut maire de l’ancien VIIIe arrondissement de Paris et a donné son nom à une rue du XIe. La plaque qui indiquait son identité a disparu. Parmi ses descendants figurent Jacques et Emmanuel Ledoy-Ladurie.
Le magistrat Eugène MUTUAUX (1846-1925), collectionneur d’art japonais dont une partie se trouve désormais au Louvre. Il fut le parrain de Marcel Proust.
don Thomas MURPHY (1800-1869), qui fut ministre des Affaires Étrangères et de la Marine de Maximilien du Mexique en 1867.
Joachim de OLIVEIRA ÀLVARES (1776-1835) : maréchal brésilien [1], il fut député au Brésil en 1830 et à deux reprises ministre de la Guerre (1822, 1828-29). Malade, il revint en Europe, s’installa à Paris où il mourut. Dans le même tombeau repose Jozé Marquez LISBOA (1806-1866), qui fut ambassadeur du Brésil en France.
Nicolas-Charles Victor OUDINOT, duc de Reggio (1791-1863) : fils du maréchal Oudinot, il fut député de Maine-et-Loire sous la monarchie de Juillet. Général, il commanda l’expédition italienne de 1849 qui s’empara de Rome.
Adolphe PAILLARD de VILLENEUVE (1804-1874) : conseiller municipal de Paris, avocat à la Cour d’appel de Paris, rédacteur en chef de la Gazette des tribunaux pendant quarante ans, il assura la défense de Victor Hugo, Alphonse Karr ou encore des frères Goncourt. Sa notoriété -très relative- est éclipsée chez les taphophiles par celle de sa petite-sœur de 5 ans, Adélaïde Paillard de Villeneuve, qui fut la première défunte identifiée à reposer au Père-Lachaise, non pas en fosse commune, mais dans une sépulture individuelle.
Amédée ROLLAND (1829-1868), qui fut poète, journaliste, auteur dramatique et romancier.
L’amiral Albert ROUSSIN
Fanny ROZET (Stéphanie Mismaque-Rozet : 1881-1958) : fille du sculpteur René Rozet, elle fut elle même sculptrice et devint en 1896 la première femme à accéder aux Beaux-Arts, où elle fut l’élève de Laurent Marqueste. Elle exposa au Salon à partir de 1904. On lui doit des objets décoratifs et des lampes de style Art déco. Elle repose dans le caveau Philippe.
Deux membres de la célèbre dynastie d’artificiers RUGGIERI reposent dans cette division : Michel (1765-1849), qui fut l’artificier de Napoléon Ier et de Louis XVIII, et son fils Michel (1796-1862), qui fut celui de Méhémet Ali, vice-roi d’Égypte.
L’écrivain Marcel SCHNEIDER (1913-1989), qui fut un historien de la littérature, (en particulier de la littérature fantastique), de la musique (il fit paraître des études sur Schubert et Wagner, et a retracé l’histoire du ballet depuis Louis XIV). Après avoir été responsable de la chronique chorégraphique du journal Le Point, il a été, dans les années 1980, un collaborateur régulier du Quotidien de Paris.
La peintre Amélie Suzanne SERRE (1814-1841), jeune épouse de Blanqui qui mourut alors qu’il était enfermé au Mont-Saint-Michel. Elle fit de lui un portrait qui demeure le plus connu du révolutionnaire.
L’architecte Laurent SIMON (1957-2005).
L’avocat Jean Baptiste TESTE (1780-1852), connu pour ses difficultés d’élocution (!). Pendant les Cent-Jours, Napoléon Ier le nomma directeur de la police à Lyon. Il fut élu représentant du Gard à la Chambre des Cent-Jours en 1815, proscrit à la Seconde Restauration (il se réfugia à Liège jusqu’en 1830) et revint à Paris après la Révolution de Juillet 1830. Il fut à nouveau député du Gard de 1831 à 1842 puis devint ministre de la Justice et des Cultes de 1839 à 1840 puis ministre des travaux publics de 1840 à 1843. Il fut fait pair de France et nommé à la Cour de cassation. Il fut condamné en 1847 dans le scandale Teste-Cubières, une affaire de pot-de-vin, et fut enfermé à la Conciergerie.
Georges TIBET-BOGNET (1855-1935) : dessinateur, membre des Hydropathes, il fut une figure de la butte Montmartre et passa sa vie dans la misère dans le quartier de la Goutte-d’Or. Il fut l’auteur de scènes militaires, d’images d’Épinal, et illustra des livres. Il mena également une carrière de dessinateur humoristique dans des journaux illustrés comme Le Chat Noir.
Le peintre abstrait Georges VAN HAARDT (1907-1980).
L’abbé Adrien VÉRO (1837-1909), qui fut camérier du pape Pie X. Il était le petit-fils de Benoît Véro, qui avec le financier Dodat avait ouvert en 1826 le passage Véro-Dodat.
Anecdotes et curiosités
- En plein cœur de la division, présence d’un platane nécrophage
- La tombe d’une jeune fille morte à 23 ans. Pendant des années, elle fut impeccablement entretenue et régulièrement - comme c’est le cas ici - décorée d’objets ou de dessins de ses proches. Et puis le temps passe...
- Du guerre-lasse, il semblerait que la famille ai fait déplacer le tombeau (elle se trouvait en bordure de division, à coté de la tombe d’Edith Lefel.
- Chapelle Brechemin
- On peut y lire Ici sont déposés dans un cassolite les cheveux de Louis-Henri Bréchemin, époux de Rose [illisible] décédé à paris à l’âge de 39 ans dans la tourmente révolutionnaire le 19 septembre 1793.
Réalisations artistiques
- Tombeau du marquis de San Tommaso
- De L’ange du silence de Carlo Marochetti, il ne reste plus grand chose.
- Tombe Longuet
- Tombe Le Camus
- Porte de chapelle sépulcrale en fonte ornée dans la partie supérieure des attributs religieux réservés au Pape (tiare pontificale, crosse, bâton terminé par une croix à trois traverses), au centre la couronne d’épine et un calice, en dessous un encensoir. Autour de la partie basse figurent onze médaillons représentant les apôtres.
- Tombe Kaulek
- Statue en fonte
- Le médaillon (qui était en très mauvais état) a disparu de la tombe Jobert
- Tombe Cardenas de Campo-Alegre
- Statue par Michel Dagand.
Parmi les œuvres d’art disparues, signalons le bas-relief en bronze par Nanteuil de la tombe Couturier. Idem du groupe en pierre de Louis Gossin représentant un ange ailé indiquant, du doigt, le ciel à un enfant debout à sa droite, qui surmontait la chapelle Labatut. La tombe Musias n’existe plus, et avec elle le buste en plâtre qui l’ornait.
Très peu de vitraux dans cette division.
- Chapelle Adam
- Chapelle Guilhem de Pothuau
- Chapelle Paul de Job
- Chapelle Sommerard
[1] Et pas espagnol, contrairement à ce qu’on lit sur toutes les sources !
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