Après avoir débuté dans le journalisme à 16 ans, puis s’être orienté vers la critique d’art dramatique et plastique, il publia des recueils de poésies témoignant de ses préoccupations humanistes. Son roman l’Enfer se place ainsi dans l’héritage direct de Zola. Engagé volontaire en 1914, il publia le Feu, journal qui dénonce l’horreur quotidienne des tranchées. Fondateur après la guerre, avec Romain Rolland, d’un mouvement pacifiste, il s’exalta pour la révolution bolchévique et milita pour le communisme internationaliste. De ses fréquents séjours à Moscou, il rapporta des visions idylliques du monde socialiste (Russie, Staline).
Son nom n’est pas totalement oublié : il n’existe pas une seule municipalité communiste (ou anciennement communiste) qui ne possède pas une rue Henri Barbusse !
Commentaires
son épouse helyonne Mendes est dans le caveau mais son nom n y figure pas et ils n ont pas eu d enfants