Sa mère, Sheila, voulait en fait que son fils ait un vrai "métier". Elle pensait que Jett-setter et mondain, que ce n’était pas un métier, et que c’était pas sérieux. Pour ce qui était de celui d’écrivain, Ludovic n’avait en fait écrit que un seul livre, et aussi, il n’écrivait donc pas régulièrement des livres, ce qui fait que sa carrière d’écrivain était discutable. Mais surtout, sa mère voulait qu’il développe des projets à lui, car ce qu’il faisait, c’était par rapport au passé, à l’image, et à la notoriété de sa mère, ce que Sheila expliquera, et qu’elle déplorait. Elle ne supportait pas que l’on dise "c’est le fils de... qui débarque !"Pour résumer, elle ne voulait pas que son fils approche le show-business, qui ne semblait pas être pour lui. Il est vrai qu’elle savait que c’était un milieu ou l’on pouvait se brûler les ailes facilement.

Le fils de Sheila était écrivain, jet-setter, et mondain.
Son nom officiel est Ludovic Bayle, quand d’autres citent Ludovic Bayle-Chancel, car son papa est Ringo, alias Guy Bayle.

"Petite Fille De Francais Moyen", comme elle le chantait jadis, on peut dire que ses parents via leur fille ont réussi ! Louveciennes n’est pas la vile des français moyens mais celle de ceux qui les ont, les moyens. Native de Créteil, et fille d’un commerçant en confiserie, on ne peut pas dire qu’elle aura rigolé tout le temps. Dans la mesure où ils se touchent et communiquent, on a du mal à saisir les notions d’ancien et nouveau cimetière dans les villes qui étendent leurs espaces funéraires et qui usent d’un distinguo dont je ne sais si administrativement il a un sens.