C’est dans le cimetière de sa commune natale que fut inhumé, comme l’indique une plaque à l’entrée du lieu, l’académicien français Marcel ARLAND (1899-1986).

Romancier, nouvelliste et essayiste, séduit un temps par le dadaïsme, il se rapprocha ensuite des grands écrivains psychologiques de l’entre-deux-guerres. En 1923, Terres étrangères lui valut d’être remarqué par Gide et Larbaud. Il obtint le prix Goncourt en 1929 pour L’Ordre, et fut élu à l’Académie française en 1968. Codirecteur de La NRF à partir de 1953, puis directeur de 1968 à 1977, Arland a été mêlé à toute la vie littéraire de ce siècle.

Dans ce même cimetière repose également le peintre religieux local TÉLÉMAQUE (Jean-Pierre Jourdheuil : 1826-1887), auquel on doit la décoration intérieure de nombreuses églises de la région, principalement des fresques et des médaillons qui relatent des scènes du Nouveau Testament et des mystères de la vie de la Vierge.

Dans une optique plus contemporaine, la tombe très "customisée" d’un défunt gardée par son chien !