Après l’odieux et épouvantable massacre à la kalachnikov de janvier, voici le tragique et incroyable massacre en hélicoptères !
Quand ces sanglantes séries noires vont-elles cesser ?
J’en suis totalement abasourdi !

@ H. Lallment : le proverbe qui affirme que « tout vient à point à qui sait attendre » a raison ! Car pour redéambuler dans les allées du cimetière du Montparnasse, j’ai clairement attendu, attendu, zaï zaï zaï, mais finalement, j’y suis revenu ! J’ai savamment déjoué les pièges du marathon, et une fois dans le cimetière, grâce à vos précieuses indications, je les ai tous trouvés !!! Cerise sur le gâteau, avec le soleil d’hier, c’était un rare bonheur... MERCI à vous !

@ H. Lacheram : Merci pour la rectification concernant la « dernière demeure » de Napoléon III... Comme quoi la vérité... En plus, j’avais vu le numéro de « L’Ombre d’un doute » le concernant, mais ma mémoire m’a fait défaut.... Et, entre nous, il n’y a bien qu’un seul remède, universel, simple (et encore moins coûteux que la taxe Tobin !) pour une meilleure paix entre tous les humains, c’est le sourire ! ... ça marche et c’est (heureusement !) aussi contagieux que la grippe !

@ Michel Schreiber : Ben, de rien, et surtout prenez plein de photos, s’il vous plaît ! Et notez tous les noms que vous pourrez trouver... On compte sur vouuuuuus !!!!

@ Christophe JACOB : merci pour l’adresse finale de Leonard Nimoy ; par chance, comme fin avril, je ferai un petit pèlerinage cinématographique à Los Angeles, j’en profiterai pour essayer de mener l’enquête. J’ai décrété - parce que ça me simplifie la vie ! - qu’il sera dans le mausolée, près de Michael Landon, de Lorne Greene et d’autres célébrités que j’avais de toute façon prévu d’aller saluer. Car « Bonanza », n’est-ce pas, c’est toute mon enfance, et après tout, Spock en fait partie aussi...

@Christophe Jacob

Puisque c’est la phrase que j’ai écrite en réponse à V. Pallières à propos de la disparition de Benotman, « fustiger notre pays pour avoir méprisé ce rebelle », qui a déclenché la réaction de P. Doumergue, et ensuite la vôtre, pour relever à juste titre le manque de cohérence de cette dernière, je me permets de signaler que, si Badinguet et Badinguette sont bien réunis dans le même lieu (non pas Chislehurst, mais l’abbaye Saint-Michel de Farnborough), leur fils, le prince impérial, désigné comme « Napoléon IV » les a aussi rejoints... Et il paraît même que le célèbre motodidacte Christian Estrosi voulut en 2007 faire rapatrier ces trois dépouilles impériales en France ! Mais il s’est heurté au refus des religieux anglais.. .On se demande bien pourquoi...

@ H. Lallment :
Bonjour... Je vais ENFIN, ce weekend, pouvoir retourner à Paris et m’y lancer à la chasse de toutes les personnalités du cimetière du Montparnasse pour lesquelles vous m’avez donné de précieuses informations ; entre temps, j’ai découvert la présence, division 28, d’un autre compatriote, le co-fondateur des Galerie Lafayette, Théophile Bader : près de Dreyfus et des WIldenstein ? un peu plus loin ? au cœur de la division ? en bordure ? Là encore, je compte beaucoup sur vos lueurs ! Merci d’avance !

@Pierre Doumergue :

Votre propos est lui-même ambigu, convenez-en.... Qu’entendez-vous par « Victor Hugo, rebelle, exilé... » ?.... Qu’on L’A exilé ? Qu’il S’EST exilé volontairement... ? Votre syntaxe est floue.... Ne faudrait-il pas dire alors « chassé » ou « interdit de séjour » ????.... En l’occurrence, concernant Victor Hugo, Jean TULARD (que je préfère personnellement comme biographe de Napoléon que comme critique de cinéma ! Ceux qui me connaissent un peu sauront de quoi je parle ! ) et surtout Jean des CARS, entre autres, réaffirment que la vérité historique, comme toute vérité d’ailleurs, est bien fragile... Ce dernier affirme sans sourciller que Victor HUGO a délibérément choisi de quitter Paris (et non pas à l’insu de.... !)... Et, du reste, il a vraiment été CHASSE de sa nouvelle terre d’accueil, Jersey, quelque quatre ans plus, pour avoir quitté la Reine Victoria... Victor HUGO a d’ailleurs été très nomade, durant la dernière partie de sa vie, mais il est bien mort à Paris, après avoir lui-même décidé d’y rentrer.... Bref, la notion d’exil est probablement à reconsidérer : s’exile-t-on soi-même ou est-on exilé ? Et la France, concernant l’exil, ne doit pas être seule à être pointée du doigt, en ce cas.... Le « responsable » de l’exil de Victor HUGO n’est jamais « rentré » de Chislehurst... Mais il est inhumé avec sa femme ! Au moins, ils sont réunis, me direz-vous !... CHATEAUBRIAND, autre forte tête nomade, est bien rentré chez lui, lui aussi, et, du reste, à l’invocation pressante d’un certain Napoléon Bonaparte, alors qu’il avait quitté précipitamment (on peut le comprendre !) la France, en des temps troublés (euphémisme !)

Disparition le 2 mars, à l’âge très respectable de 99 ans, de l’infatigable Michel MENU .
Ingénieur, résistant et écrivain, Michel MENU était une grande figure charismatique du scoutisme français.
Il est le fondateur des « Raiders Scouts » , puis des « Goums », ces raids d’une semaine dans des régions désertiques !

Jean-Pierre Brulé (X50), ancien Président-directeur général (1975-81) de la Compagnie CII-Honeywell Bull et de la CII-Honeywell Bull Internationale, décédé le 2 mars à 85 ans, sera inhumé le 5 mars au cimetière du Père-Lachaise. Selon le carnet du Figaro de demain.

Claude Dilain, ancien maire de Clichy-sous-Bois, à l’âge de 66 ans. Homme courageux !

@Victoria Pallières

Visiblement vous êtes une admiratrice inconditionnelle de Benotman et fustigez notre pays pour avoir méprisé ce rebelle... Ceci m’inspire deux remarques : la première est que dans une société démocratique organisée, on ne peut faire l’apologie d’un individu qui, à plus de quarante ans, continuait à séjourner en prison à intervalles réguliers... Excuser les erreurs de jeunesse, oui, mais l’obstination dans la provocation à coups de braquages et autres délits, non ; la deuxième est que si cet écrivain a un réel talent, la postérité reconnaîtra son oeuvre... Après tout, des délinquants comme le poète François Villon ou le peintre Le Caravage n’ont-ils pas eu droit depuis leur disparition à la reconnaissance de la valeur de leurs créations ?

Bettina Graziani, le 2 mars 2015, à l’âge de 90 ans. Plus connue sous le nom de Bettina, elle présentait, des années 45 au années 60, ce grand art qu’était la haute couture parisienne. Bien fini, tout ça. Il ne reste plus que le Musée de la Mode. Et si le « chiffon » est devenu très laid, il s’est heureusement « démocratisé ».

Hafed Benotman (3 septembre 1960 - 20 février 2015). Il y a 11 jours, déjà. Cet écrivain algérien, qui est né, qui a vécu, qui est mort en France n’intéresse, de toute évidence, pas grand monde. Une vie cabossée, sans papiers, vols-prison, cavale-prison, vols-prison, vie cachée, récidive-prison, acteur, , romans, théâtre, maladie cardiaque, mort. Ben vouis mais vouis, « raton », « melon », « bicot », « crapule » et « sans papiers »....manifestement tout pour plaire dans « notre vieux, notre beaux et notre si grand pays » si propre sous lui, sentant la lavande, la marjolaine et le ......pipi

Mauvais temps : Boris Nemtsov, maudit par le néo-stalinisme grand-russe, Yasar Kemal, martyrisé par le nationalisme grand-turc. Du premier, probablement tombé sous les balles du néo-stalinisme, saluons l’immense courage. Du second, lisons, relisons ces œuvres immenses comme « Mehmet le Mince », « L’herbe ne meurt pas ». Des deux, retenons leur combat constant contre l’intimidation, les violences et l’obscurantisme des Etats. Que la terre qui les recouvrira soit légère.

En fait Kemal aurait eu 92 ans le 6 octobre prochain.

En revanche, la mort du grand écrivain turc Yasar Kemal, qui n’obtint pas le prix Nobel à la différence de son plus jeune compatriote Orhan Pamuk, a été annoncée par les médias turcs. Il avait 92 ans. A priori, la nouvelle est fiable...

Ch’guss, de son vrai nom Robert Jordens, est décédé le 26 février, à l’âge de 86 ans. C’était un comique patoisant, auteur et interprète de nombreux sketchs en picard. Il était bien connu dans le Nord-Pas-de-Calais, et plus particulièrement à Boulogne-sur-Mer où il résidait et où il sera enterré.

Gérard Ducarouge, ingénieur français qui avait dessiné de nombreuses monoplaces victorieuses en Formule 1, est décédé à l’âge de 73 ans, dans le sport automobile. Ducarouge avait commencé sa carrière dans les années 1960 avec Matra et dessiné la fameuse MS80 ayant permis à l’Ecossais Jackie Stewart de remporter son premier titre mondial en 1969. Il a ensuite conçu les Matra-Simca qui ont raflé trois victoires aux 24 Heures du Mans, de 1972 à 1974, puis est parti chez Ligier, qui débutait alors en F1 et a gagné pour la première fois en 1977, en Suède. Après un bref passage chez Alfa Romeo, Ducarouge a été embauché par Lotus, en 1983, et a fourni au Brésilien Ayrton Senna la monoplace de ses toutes premières victoires, en 1985.

André devait être son deuxième prénom ! Merci monsieur schreiber je vois que l on ne peut vous induire en erreur

Thérèse Quentin la femme d André Cuvelier est DCD 6 mois après son mari , le 20 février et sera enterrée le 27 février au cimetière de Montmartre , a priori auprès de son défunt mari.