Genre de mort que y a que moi qui les remarque : Simone Cornec est morte le 28 février à 95 ans. Avocate et ex-épouse de Jean Cornec , lui aussi avocat, mais surtout indéboulonnable Président de la Fédération nationale des conseils des parents d´élèves des écoles publiques (1956-80). La fameuse fédération Cornec de notre enfance (Youpi, y a grève !). Ils étaient divorcés depuis un bail et leur fils avocat a épousé Catherine Dolto. Sort du corps inconnu.
Jean Cornec (1919-2003) s’était remarié en 1972. La chronique a fini par nous apprendre que le jeune Jean Cornec fût le béguin du juvénile Jean-Louis Bory, son condisciple du Lycée Henri-IV ; ce qui me plongea dans un abîme de perplexité, compte tenu de la disparité des personnalités que nous connûmes par la suite : L’austère Breton de Logonna-Daoulas (Finistère, au fond de la rade de Brest) frayant avec l’émulsif mérévillois de son village à l’heure allemande…
Les Cornec ont coécrit les « Risques du Métier », porté à l’écran par André Cayatte, avec Jacques Brel en tête de distribution.
Genre de mort que y a que moi qui les remarque : Michel Albert, Inspecteur des finances, Membre de l’Institut, mort le 19 mars à 85 ans, et propagandiste du concept économique de « Capitalisme Rhénan », par opposition au modèle anglo-saxon. Président du groupe Assurances générales de France (AGF) (1982-94), et penseur pour le Jean-Jacques Servan-Schreiber des grandes heures. Sort du corps inconnu mais « passage dans la lumière de Dieu » en l’église des Invalides, le jeudi 26 mars
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