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lundi 24 août 2009
par  Philippe Landru

CLEMENCEAU Georges (1841-1929)

Médecin, c’est pourtant en tant que journaliste que Georges Clemenceau s’illustra d’abord, publiant le fameux J’accuse de Zola dans son quotidien L’Aurore. Député au verbe aussi redoutable que la plume, il s’imposa comme chef du parti radical. Il combatit si bien la politique coloniale de Jules Ferry (...)

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mardi 6 août 2013 à 13h57

On a souvent dit que « Le Tigre » avait été enterré debout. C’est absolument faux. Son corps est légèrement incliné. Clémenceau ne voulait pas être inhumé dans un cimetière. Il repose sur le versant de cette petite colline ombragée, au pied de laquelle murmure un petit affluent du Lay. Il a près de lui dans son cercueil, la canne à pomme de fer de sa jeunesse, un petit coffret contenant un petit livre, cadeau de sa mère, et dans une douille d’obus, deux bouquets que des Poilus lui avaient offerts lors d’une de ses visites sur le front.

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