De Bowie à Mohammed Ali, l’année 2016 a vu des icônes mondiales disparaître les unes après les autres. Lors de ces hommages, la presse est chargée de véhiculer l’image qui restera gravée dans nos mémoires. Pour cela, les rédactions disposent de cimetières virtuels : des nécrologies prêtes à être publiées en cas de décès de personnalités. Ce qui ne les empêche pas d’être parfois prises au dépourvu.
Michel Rocard est en une de tous les magazines. À l’heure où la gauche peine à conserver son identité, il fait figure de leader comme on n’en fait plus. Sa mort est saluée par les politiques, de gauche comme de droite, par ses partisans, par ses disciples, et surtout par la presse. Dès le soir de sa mort ont été dégainés éditos et nécrologies racontant le grand homme, les grands actes, les grandes idées.
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Commentaires
La solution serait peut-être de lier tout ce travail éditorial à la pierre tombale via un QRCode comme cela se fait déjà beaucoup dans les cimetières. Un hommage éternel.