Réalisateur français, il fut un des grands cinéastes du film noir des années 50 et 60. Par ses techniques et ses utilisations des scènes extérieures, il fut également un des inspirateurs de la Nouvelle Vague, et son influence est encore grande sur les cinéastes actuels.
Il s’entoura de grands acteurs qui lui furent fidèles : Belmondo (Léon Morin, prêtre, l’aîné des Ferchaux, le Doulos), Delon (le Samouraï, le Cercle rouge, Un flic), Ventura (le Deuxième souffle, l’Armée des ombres). On lui doit également en 1950 les Enfants terribles, d’après l’œuvre de Cocteau qui avait fait appel à lui.
On le vit parfois faire l’acteur, comme dans Landru de Chabrol où il incarne Mandel, ou dans A bout de souffle de Godard.
Commentaires
un grand genie et visionnaire du cinema francais qui par ses oeuvres comme bob le flambeur aura marque le cinema . et qui influencera grands nombres de realisateurs
Dans « A bout de Souffle  », Melville interprète un écrivain arrogant et prétentieux nommé Parvulesco, un authentique et sulfureux publiciste (Ex membre de l’OAS), qui est mort le week-end passé et dont la personnification à l’écran par Melville aura été le principal titre de gloire ; ce qui empreint d’une certaine ambiguïté l’oeuvre d’un Godard dont les thuriféraires omettent généralement d’en détailler les contours un peu flous. Parvulesco apparaît aussi en personne dans un film de son ami Rohmer...
Qui pourrait me citer cette citation de : Blaise Pascal , que l on voit écrit dans le generique
du débût du film : L ’ armée des ombres , cette citation commençait comme cela : Je ne peux
croire que les hommes etc ? .
La fameuse citation de Blaise Pascal dit par Melville : Je ne puis croire que les histoires dont
les témoins se feraient egorger : Film : L ’ armée des ombres ( 1969) .
On voit sur la tombe le nom de Jacques Grumbach, journaliste, ami de Léon blum et résistant.
Il était le frère de Jean Pierre Melville.
Il fut assassiné et détroussé par un passeur espagnol dans les Pyrénées en 1942, alors qu’il tentait de passer en Espagne.
Je suis passé voir ce Grand Monsieur dont j’ai toute l’œuvre chez moi.
Cinéma tragique, noir, pessimiste et magnifique à la fois, qui peut se vanter d’avoir fait si bien, un des plus grands réalisateurs de tous les temps.
Je repasserai vous voir Monsieur Melville.