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vendredi 1er avril 2016
par  Philippe Landru

DECAUX Alain (1925-2016)

Il n’était pas historien (il ne le prétendait d’ailleurs pas). Il ne l’était ni pas ses sujets de prédilection (les thèses survivandistes, les prétendues « énigmes » de l’histoire...), ni par sa méthode (petits arrangements avec les faits, sources non citées, bibliographies dépassées ou peu sérieuses...), et (...)

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dimanche 25 juin 2017 à 20h33 - par  David Tong

Merci à Monsieur Decaux. C’est grâce à la lecture des « Nouvelles histoires extraordinaires », que ma mère m’a offertes quand j’avais 12 ans, que je me suis piqué de curiosité pour l’histoire ... A terme, il a « guidé » pour intérêt pour la recherche historique et les racines d’un pays ou d’une « légende historique ».

Je ne manque jamais une occasion de le saluer quand je passe au Père-Lachaise, comme je saluerais un vieil ami.

A cet égard, j’ai participé, par le plus grand hasard, à ses obsèques au cimetière. Il avait une capacité rare : celle de fédérer tous les publics. Je me retrouvais au côté d’académiciens, d’hommes de théâtre, d’acteurs ... C’était un moment très émouvant.

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