vendredi 27 septembre 2013
à 08h10
- par Christophe JACOB - Les Gens du Cinéma
@cp
Donc, si j’entends bien, mis à part le terme « sommité », il n’y a rien à retenir de bon de Tubiana... Et, à l’heure des bilans nécrologiques, si l’on lorgne du côté de journaux de certaines tendances, on trouve encore pires abominations sur le bonhomme... On sait ce que vaut la parole des collaborateurs et de nombreux médias, dès lors que l’on dévie quelque peu des sentiers battus, et la théorie s’applique à Tubiana, comme à d’autres : lui ne privilégiait pas l’assistanat (dans un pays qui le porte en étendard) donc était forcément réac’, trouvait les méfaits du tabac et de l’alcool bien plus destructeurs chez nous que les conséquences du nuage de Tchernobyl donc était forcément hérétique, se complaisait davantage dans le confinement solitaire de ses recherches, loin des plateaux télé, donc était forcément imbuvable... Bah, c’est comme ça, tout le monde n’a pas vocation à cadrer dans son emploi du temps un plateau à « Télématin », puis un affichage en tête de cortège pour une manif du DAL, et enfin un dîner au Fouquet’s, tout ça en une journée !... Bon, cela dit, je vous concède quelques contradictions troublantes chez Schwartzenberg, qui pouvaient heurter le « politically correct », ainsi le droit de mourir dignement, seul écart à mes yeux qui le rendait « rachetable »...
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