VALENCIENNES (59) : cimetière Saint-Roch

Visité en octobre 2015
dimanche 8 novembre 2015
par  Philippe Landru

Attention, cimetière exceptionnel ! Si le terme de « petit Père Lachaise » est revendiqué par à peu près tous les cimetières urbains de France, il n’est pas ici galvaudé. En réalité, son site est assez quelconque (ainsi, j’ai été étonné de la faible place faite à la végétation), et c’est ailleurs qu’il faut rechercher son caractère remarquable. On peut le diviser en trois parties : la partie basse, à droite de l’entrée, est la plus ancienne et la plus riche, tant en personnalités qu’en tombeaux remarquables. La partie « haute » (à droite donc) se partage entre des divisions plus récentes et les cimetières modernes. La dernière partie, au fond du cimetière et partagé du reste de la nécropole par une rivière, est la plus contemporaine, et ne présente pas d’intérêt particulier.

Un site assez quelconque donc... Ce qui fait l’extraordinaire intérêt du cimetière Saint-Roch est la présence d’un nombre impressionnant, pour ce qui reste un cimetière de province, de personnalités, en particulier liées au domaine artistique. En terme de densité, il n’a rien à envier aux grandes nécropoles parisiennes. Un aspect en particulier le rend étonnant : les nombrezux Prix de Rome, ce concours accompagné d’une bourse d’étude de l’Académie des beaux-arts qui permettaient aux jeunes artistes de se former en Italie, qui y reposent. Une plaque à l’entrée du cimetière en cite (et localise) 16, mais il y en a en réalité 18. Valenciennes est fière de la quarantaine de prix de Rome, issus de ses Écoles académiques et de son Conservatoire national de musique, qui lui ont valu le surnom d’« Athènes du Nord » en 1860 : le cimetière en est une parfaite illustration.

C’est en 1792 que fut inaugurée cette nécropole moderne destinée, comme partout en France, à remplacer les cimetières paroissiaux [1]. Il tient son nom d’une petite chapelle Saint-Roch édifiée au XIe siècle à cet endroit, près de l’Escaut. Agrandi à plusieurs reprises, il s’étend aujourd’hui sur 7 hectares.

Un des bras de l’Escaut, dit « du vieil Escaut », enrichi des eaux de la rivière Rhônelle, traverse d’ailleurs le cimetière ; coupant la partie ancienne de la partie contemporaine, reliées par un pont.

Le cimetière communique pas mal sur son patrimoine. Des fascicules thématiques à l’entrée et un plan sont bien pratiques, même si les localisations sur le plan sont régulièrement très fantaisistes.


Curiosités


- A l’entrée du cimetière, le monument aux morts a été réalisé par E. Brocheton, qui repose ici.

- Une plaque indique l’identité des guillotinés de Valenciennes durant la Révolution qui furent inhumés en ce lieu.

- Les plus anciens tombeaux se trouvent sur la gauche, à l’entrée du cimetière. Certains ne manquent pas de charme.

- Un monument du cimetière est dédié aux victimes du 2 décembre 1836, où une explosion tua plusieurs artificiers qui préparaient les festivités de la Sainte-Barbe.

Plusieurs tombes, si elles n’appartiennent pas à des personnalités, n’en demeurent pas moins tout à fait remarquables :

  • Le monument Rodrigue : sur la tombe de cet éleveur de chevaux, Henri Gauquié a réalisé un étonnant cheval agonisant (A1).
  • L’étonnante tombe de la famille Moguet : le fils Raymond a sculpté la tombe de ses parents, un métallurgiste et son épouse, femme de service d’une école maternelle. La dalle contient un long poème (E1) .
  • la dalle en asphalte de la famille Lebegue (A1)
  • La tombe Gouvion : il s’agit d’un cénotaphe réalisé pour deux frères tués à la guerre et inhumés dans des cimetières militaires. Félix Desruelles est l’auteur de la Parque qui l’orne (A1).
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Médaillon Cacheux, par Sylvanie Paul.
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Médaillon par Camille Debert

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Médaillon des brasseur Ledieu.
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Monument Bras-Lalou, réalisé par Alphonse Terroir

-  La discrète tombe des Ursulines, décapitées en octobre 1794 (A2). En 1792, un arrêté signifiant la fermeture de tous les couvents dans le Nord-Pas-de-Calais inquiéta les religieux valenciennois. En juin 1794, les troupes révolutionnaires revinrent à Valenciennes après la victoire de Fleurus. Au mois de septembre de la même année, une commission militaire spéciale fut créée afin de juger ceux accusés de « crime d’émigration ». Cette dernier organisa, sous couvert d’une répression légale amenant à de nombreuses arrestations et exécutions, une déchristianisation locale. Plus de soixante prêtres, religieux et simples fidèles catholiques valenciennois en firent les frais, mais ce sont les Ursulines qui payèrent proportionnellement le plus lourd tribut. En effet, sur les trente-deux du couvent, vingt-et-une parvinrent à fuir, mais douze religieuses (dont une Clarisse qui pensait avoir trouvé refuge) furent guillotinées. Les corps des victimes furent transportés au cimetière Saint-Roch alors récemment créé. Elles furent béatifiées.

- Le monument des « canonniers-bourgeois » (ça ne s’invente pas !), élevé en 1836 à la mémoire des six victimes mortes accidentellement lors d’un feu d’artifice de la Sainte-Barbe (E2).

- Une partie importante du cimetière est consacrée aux tombes militaires.

- Des plaques sur l’ossuaire du cimetière répertorient les identités de tous ceux dont les restes y furent déposés.

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Dans un cimetière si marqué par la présence des sculpteurs, les arbres se sentent obligés de rivaliser !

Célébrités : les incontournables...


- Jean-Baptiste CARPEAUX
- Félix DESRUELLES
- Gustave CRAUK
- Pierre DAUTEL
- Léon FAGEL
- Denise GLASER
- Ernest HIOLLE
- Henri LEMAIRE
- Albert PATRISSE

Le cimetière contient également la tombe des parents de l’acteur Jean Lefèvre.


... mais aussi


- Le peintre néoclassique Alexandre ABEL de PUJOL (1785-1861), élève de Jacques Louis David, qui obtint le Prix de Rome en 1811. Il peignit le plafond du grand escalier du Louvre ainsi que la galerie de Diane de Fontainebleau et le plafond de la Bourse de Paris. Il était membre de l’Institut (B).

- Le statuaire Louis AUVRAY (1810-1890), élève de David d’Angers et frère du peintre Félix Auvray. Il a surtout produit, en sculptures, des médaillons et des bustes. Il fut aussi Directeur de la Revue artistique et littéraire et a collaboré à divers journaux artistiques (G).

- L’architecte Jules BATTIGNY (1838-1909), ancien élève de Louis-Hippolyte Lebas et Léon Ginain, qui reçut le Second Grand Prix de Rome en 1865, et le Premier Second grand Prix, en 1866. Architecte officiel du gouvernement, il fut toute sa vie amplement décoré. Il travailla beaucoup dans la région, son œuvre capitale étant l’École Nationale Supérieure des Arts et Métiers de Lille (C).

- L’architecte de la ville Jean-Baptiste BERNARD (1802-1856), qui enseigna également.

- Le notaire Charles BODUIN (1808-1895), qui fut député du Nord de 1869 à 1870, puis de 1871 à 1876 (B).

- Le sculpteur Alfred BOTTIAU (1889-1951), qui suivit d’abord les cours de sculpture de l’école académique de Valenciennes avant d’être admis, en 1908, à l’école des beaux-arts de Paris où il fut l’élève de Jean-Antoine Injalbert. En 1919, il fut récompensé par un premier second grand prix de Rome. Il installa son atelier à Boulogne-Billancourt et exposa régulièrement au Salon des artistes français où il obtint plusieurs prix. Entre 1927 et 1937, il enseigna à l’académie Julian à Paris. Sa collaboration avec l’architecte franco-américain Paul Philippe Cret, architecte conseil de l’American Battle Monuments Commission lui ouvrit la porte de la réalisation d’une dizaine de monuments commémoratifs de la Première Guerre mondiale. Entre 1946 et 1951, il fut directeur de l’école des beaux-arts de Valenciennes. Il repose sous un bas-relief en bronze par Albert Patrisse (F).

- Le sculpteur Charles BOULANGER (1827-1893) (A1).

- Le sculpteur Lucien BRASSEUR (1873-1960), qui fut second prix de Rome en 1902 et premier Grand Prix en 1905, réalisa dans l’entre-deux-guerres plusieurs monuments aux morts pour des communes du nord de la France, dont il était originaire, dont celui de Tourcoing est l’un des plus connus. Il fut également l’auteur des bas-reliefs de la gare de Brest, bâtiment art déco construit au début des années 1930, ou d’une des statues du Trocadéro pour l’exposition de 1937 à Paris. Il reposa jusqu’en 2015 au cimetière parisien de Bagneux : il fut transféré dans le tombeau de ses parents dans ce cimetière à cette date

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Ancienne tombe du cimetière parisien de Bagneux.

- Le sculpteur staffiste Edmond BROCHETON (1881-1955), auteur du médaillon en bronze qui orne sa tombe, mais aussi du monument aux morts à l’entrée du cimetière (I2).

- Le sénateur Pierre CAROUS (1913-1990), maire RPR historique de Valenciennes de 1947 à 1988, qui fut député avant de rejoindre le palais du Luxembourg. Malade, il se donna la mort (A1).

- Abel CASTIAU (1842-1918), qui fut député du Nord de 1905 à 1906 (A1)

- L’historiographe Louis CELLIER (1827-1877) (A1).

- Le peintre orientaliste Alphonse CHIGOT (1824-1917), qui apprécia les thèmes militaires. Avec lui dans le caveau de famille repose son fils, Eugène CHIGOT (1860-1923). Formé par son père, il se lia d’amitié avec Henri Le Sidaner. En 1880, il fut admis à l’École des beaux arts de Paris où il reçut l’enseignement d’Alexandre Cabanel et de Paul Vayson. Rejoignant son ami Henri Le Sidaner, il s’installa à Étaples dans le Pas-de-Calais et y fonda une sorte d’atelier qui fit école, appelé Villa des Roses. En 1891, il fut nommé peintre officiel du ministère de la Marine. Eugène Chigot fut un grand voyageur, il peignit de nombreux ports, navires et littoraux européens. Quelques-unes de ses toiles se détachent du thème maritime académique pour traiter de scènes rurales, parfois délicates, dans un style intimiste et presque fauve (F).

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Le port des Gravelines par Eugène Chigot

- L’administrateur Alphonse CHOTEAU (1883-1936), qui fut gouverneur du Niger, de La Guadeloupe et de La Réunion dans les années 30.

- Le graveur Adolphe CRAUK (Voir la fiche de Gustave)

- Le peintre Charles-Alexandre CRAUK (Voir la fiche de Gustave)

- Le peintre paysagiste Julien DEJARDIN (1857-1906) (C).

- Le sculpteur Henri DERYCKE (1928-1998), Grand Prix de Rome en 1952, qui reçut de nombreuses commandes de l’Etat. Il repose dans une partie individualisée du fond du cimetière, sous une de ses statues (H).

- L’avocat Christophe DIEUDONNÉ (1757-1805), député des Vosges à l’Assemblée nationale législative en 1791, membre du Tribunat (1799-1801) puis préfet du Nord de 1801 à sa mort.

- Le banquier Louis DUPONT (1795-1872), fondateur de la banque qui porta son nom (actuelle banque Scalbert-Dupont) (A1).

- Henri DURRE (1867-1918), qui fut député socialiste de 1906 à 1910 puis de 1914 à sa mort. Le 23 octobre 1918, ayant voulu réjoindre les régions occupées à quelques jours de l’Armistice, il fut tué à Anzin par une balle de mitrailleuse. Sa tombe est orientée vers le carré militaire. De nombreuses rues des communes du Nord portent son nom. Son monument, dont une magnifique Parque, est une oeuvre de Félix Desruelles (A2).

- L’architecte Emile DUSART (1827-1900) (E1)

- L’architecte Paul DUSART (1865-1933), ancien élève de Laloux, qui reçut le Premier Second Grand Prix de Rome en 1893. Il fut l’auteur de plusieurs édifices à Valenciennes, en particulier le Musée des Beaux-arts (E2).

- L’architecte Louis DUTOUQUET (1821-1903) (A2).

- Louis-François d’ESTREUX, baron de MAINGOVAL (1753-1824), baron d’Empire qui fut maire de la commune durant les Cent-Jours. Sa tombe, au centre d’un carrefour, laisse penser qu’il s’agit d’un calvaire (A2).

- Le poète-chansonnier Georges FIDIT (1864-1926), auteur de « l’hymne » valenciennois, l’canchon d’Binbin (I2).

- Le statuaire Pierre Léonce de FIEUZAL (1768-1842), qui fut professeur à l’Académie de la ville. Son médaillon en bronze est de Henri Lemaire (A1).

- Le sculpteur Alexandre FOURNIER (+1954)

- Le zoologue Alfred GIARD (1846-1908), qui fut aussi député du Nord de 1882 à 1885 (A1).

- L’avocat Albert GIRARD (1837-1910), qui fut chef du parti républicain de Valenciennes. Député du Nord de 1878 à 1885, puis sénateur (A2).

- Le physicien et chimiste Désiré GERNEZ (1834-1910), qui fut assistant de Louis Pasteur (en particulier sur les maladies des vers à soie). Membre de l’Institut Pasteur, il le fut également de l’Académie des Sciences. Assez étonnement, il s’agit encore d’une tombe qui lui donne une date de naissance farfelue (1874) !

- Paul Edouard GOSSET (1907-1983), qui fut député du Nord de 1946 à 1958(N).

- L’avocat Stephen HECQUET (1919-1960), qui fut également romancier (K).

- Le peintre Joseph LAYRAUD (1833-1913), élève de Léon Cogniet et de Tony Robert-Fleury, qui fut nommé second grand prix de Rome en 1860, et premier grand Prix de Rome en 1863. Il séjourna de ce fait à Rome de 1864 à 1870 à la Villa Médicis. Il fut par la suite professeur à l’académie des Beaux-arts de Valenciennes. Il se fit connaître par ses portraits. Il repose sous une dalle d’une très grande sobriété qui le fait naître en 1883 (D) !

- Le sculpteur Georges LECOHIER (1937-1969). On lui doit en particulier le médaillon de la tombe de Lucien Patrisse (I2)

- Le sculpteur Edmond LEMAIRE (1836-1911) (E1)

- Le statuaire Jules-Louis MABILLE de PONCHEVILLE (1844-1897) On lui doit dans ce cimetière le gisant sur la tombe Foucart (A1)

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Gisant Foucart

- L’architecte René MIRLAND (1884-1915), Premier Grand Prix de Prix de Rome en 1911, qui mourut sur le front. Son monument funéraire fut réalisé par Elie Raset (I2).

- L’architecte et sculpteur Aubert PARENT (1753-1835), qui enseigna à Valenciennes. (D)

- L’industriel Léon RENARD (1836-1916), qui fut député du Nord de 1876 à 1878. Il siégea à droite. Il repose dans la tombe Canonne.

- Le peintre Maurice RUFFIN (1880-1966) (A1)

- Le comte Charles THEILLIER de PONCHEVILLE (1836-1916), qui fut député du Nord de 1885 à 1893 (C).

- Sophie THIBAUT-LIER (1811-1891) : étrange cénotaphe pour cette femme morte à Paris et dont on ignore le lieu exact d’inhumation ! Cousine de Henri Lemaire et de Carpeaux, elle fut avec son amant une pionnière de l’homéopathie. Son cénotaphe se présente sous la forme de quatre blocs de granit, de forme cubique, le quatrième surmontant les trois autres disposés en triangle. On peut y lire, à défaut de son identité, « Première Française, reçue médecin à l’étranger » et « qui soit allée jusqu’aux confins de l’Égypte et aux sources du Nil blanc, 25 ans de propagande et d’exercice de médecine homœopathique en faveur des classes pauvres ».


[1La plus ancienne tombe encore présente date de 1797.


Commentaires

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Liste des 105 noms victimes du nazisme
samedi 2 janvier 2021 à 00h00 - par  Frédéric Pélisson

Je n’ai rien vu sur ce blog concernant la mémoire des familles juives déportées depuis Valenciennes suite à la rafle du 11 Septembre 1942. Je recherche notamment la liste des 105 noms victimes du nazisme qui serait présente dans la division Israélite du cimetière.

Site web : Frédéric PELISSON
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VALENCIENNES (59) : cimetière Saint-Roch
mardi 12 mars 2019 à 16h13 - par  lemoine

Les Ursulines furent onze guillotinées pas 12

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jeudi 13 mai 2021 à 23h27 - par  rufin

Comme il est très bien expliqué dans l’article, la douzième religieuse guillotinée était une clarisse et non une ursuline.

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VALENCIENNES (59) : cimetière Saint-Roch
lundi 1er août 2016 à 11h35 - par  Gerard

J’ai, à mon tour, commis une erreur : il s’agit de la tombe d’Hector Brocheton (1909-1928) et le médaillon en bronze, par contre, a bien été réalisé par son père Edmond. Toutes mes excuses.

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VALENCIENNES (59) : cimetière Saint-Roch
lundi 1er août 2016 à 00h21 - par  Gerard

Une petite erreur à signaler : le médaillon sur la tombe d’Edmond Brocheton n’est pas de lui, mais de son père Edmond, également sculpteur.

Site web : Gérard
Logo de Ariey-jouglard Jean-Piere
VALENCIENNES (59) : cimetière Saint-Roch
lundi 9 novembre 2015 à 10h27 - par  Ariey-jouglard Jean-Piere

Bonjour
Selon le site des monuments napoléoniens, Adrien Jean-Baptiste François Bourgogne, auteur des Mémoires du Sergent Bourgogne, est inhumé à Valenciennes au cimetière Saint-Roch section E1 carré 1 bas.

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VALENCIENNES (59) : cimetière Saint-Roch
dimanche 8 novembre 2015 à 16h34 - par  Jacques IBRY

Bonjour
Le Député et académicien des sciences Alfred GIARD (1846-1908)
a un monument funéraire au cimetière du Montparnasse (17e Division grand cimetière)
Encore un mystère
Jacques IBRY

Logo de Fabienne Giard
mardi 24 avril 2018 à 09h24 - par  Fabienne Giard

Le député et académicien Alfred Giard est en effet inhumé à Paris, au cimetière du Montparnasse.
C’est son père, également prénommé Alfred, qui est dans la tombe de Valenciennes.

Logo de Yannick
VALENCIENNES (59) : cimetière Saint-Roch
dimanche 8 novembre 2015 à 09h56 - par  Yannick

Lucien Brasseur repose maintenant au cimetière Saint Roch. Il a rejoint le caveau familial lors des journées du patrimoine 2015. Sa tombe au cimetière de Bagneux devant être reprise.

Logo de Yannick
dimanche 8 novembre 2015 à 12h30 - par  Philippe Landru

@Yannick : Merci pour cette info récente : j’ai mis à jour les deux articles (Valenciennes et Bagneux).

Brèves

Mise à jour et conseils aux contributeurs

samedi 29 octobre 2022

Je suis en train de remettre à jour toutes les rubriques qui listent le plus exhaustivement possible le patrimoine funéraire de tous les départements. Tous les cimetières visités par moi (ou par mes contributeurs) y sont portés, mise-à-jour des couleurs qui n’étaient pas très claires dans les versions précédentes (le noir apparaissait vert), rajout de tombes depuis les visites, photos de tombes manquantes... N’hésitez pas à les consulter pour y trouver la version la plus globale du patrimoine. Ces rubriques représentent les listes les plus complètes que l’on puisse trouver sur le net du patrimoine funéraire français.

Contrairement aux articles, vous ne pouvez pas interagir sur les rubriques : aussi, si vous avez une information nouvelle à apporter sur un département, merci de laisser votre message en indiquant clairement le département et la commune concernée sur un article dédié uniquement à cela : Le patrimoine funéraire en France : classement par départements

Merci et bonne lecture.

Qui est derrière ce site ?

vendredi 14 février 2014

Pour en savoir un peu plus sur ce site et son auteur :

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