Poster un commentaire à la suite de l’article...

vendredi 2 août 2013
par  Philippe Landru

FERRÉ Léo (1916-1993)

Issu de la bourgeoisie monégasque, il monta à Paris faire des études de droit et sciences-po ; il y expérimenta la vie de bohème avant que la guerre l’amène sous les drapeaux. Ce conflit fut pour lui le moment de sa formation musicale. En 1946, il joua au « Boeuf sur le toit » et signa son premier (...)

En réponse à...

Logo de Annick de la Villanelle
mardi 14 octobre 2014 à 19h52 - par  Annick de la Villanelle

J’étais une grande admiratrice de Léo Ferré (le mot est faible) et à sa mort j’ai souhaité quitter ma Picardie le temps d’un week-end pour aller me recueillir sur sa tombe que je savais être à Monaco.

J’ai dû chercher dans les dédales sous le soleil cuisant et j’ai été émue et surprise de me trouver devant une sépulture familiale très sobre et sans fleurs.

J’ai beaucoup chanté Paris-Canaille, Jolie môme, comme à Ostende, le temps du tango, Rotterdam, les amoureux du Havre etc. et toutes ses chansons de la première heure.

Pour moi Léo était le plus grand. Maintenant que les ans ont passé, j’évite de l’écouter car trop de souvenirs me submergent et je sais qu’entendre sa voix me plongera inévitablement dans le désarroi.

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message
  • Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.

  • Lien hypertexte

    (Si votre message se réfère à un article publié sur le Web, ou à une page fournissant plus d’informations, vous pouvez indiquer ci-après le titre de la page et son adresse.)